Au-delà de savourer le résultat de vivre ensemble dans un immeuble paisible, la coopérative d’habitant·es ressemble parfois à une entreprise que nous gérons collectivement, en parallèle de nos vies personnelles et professionnelles.

Réfléchir aux usages et à la conception architecturale des espaces partagés est une évidence, mais quid des logements de chaque ménage ? Doit-on les penser collectivement ou individuellement ?

L’architecture d’un lieu joue un rôle à part entière, elle favorise ou limite les usages. Le Groupe a été très attentif à créer les conditions favorables à la convivialité dans la construction de l’immeuble.

Créer puis gérer un habitat partagé se pense dans le long terme. Le groupe vit et se renouvelle, ce qui pose des questions d’intégration lorsqu’un ménage souhaite devenir coopérateur.

Face au repli individualiste, les modes de vie des habitats participatifs montrent avec bouillonnement qu’il est possible de faire autrement et de proposer des alternatives désirables !